mardi 24 novembre 2009

Un tiers de l'humanité vit dans le noir, incluant l'ONU.

Un tiers de l'humanité vit dans le noir
Près d'un tiers de l'humanité vit dans le noir faute d'accès à l'énergie, dont 80% résident dans les pays les moins développés et en Afrique sub-saharienne qui n'ont pratiquement aucune chance d'atteindre les objectifs de développement fixés pour 2015, selon un rapport de l'ONU.

L'ONU est bel et bien dans le noir total ici.
L'étude du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) insiste sur l'étroite corrélation entre extrême pauvreté et manque d'accès à l'énergie
Belle logique: les pays pauvres n'ont aussi pas d'électricité....
Que faire ?
Donnons leur de l'électricité et deviendrons évidemment tous riches...
«Compte tenu des niveaux actuels d'accès à l'énergie, il est clair qu'il sera particulièrement difficile à ces pays d'atteindre les Objectifs de développement du Millénaire»
Comment ?
Comme tous les autres... en vampirisant ce flot continu de richesse que se promettent d'extorquer les accords climatiques...
Le futur accord climat qui doit être négocié à Copenhague à partir du 7 décembre doit garantir un financement aux pays les plus démunis pour les aider à se développer sur des modes non polluants, tout en s'adaptant à un climat déréglé.

Tout ceci est à l'envers.
Premièrement, de la richesse, ça se crée. Ce que propose l'ONU est une socialisation planétaire: prendre la richesse des pays développés à la «domper» dans les pays pauvres.
Mais ce que ces pays ont besoin est de créer de la richesse, leur propre richesse.

L'accès à l'énergie n'est aucunement une pré-condition pour la création de richesses. Ce qu'il faut (la logique et l'histoire le prouvant), est la liberté individuelle. La liberté de pouvoir conserver leur gains et les réinvestir dans leur petite entreprise. Ceci est le chemin de la richesse.
Il est totalement inutile de donner de l'énergie à des gens n'ayant pas les moyens de produire avec celle-ci. Cet énergie ne sera que consommée.

«meilleure option pour équiper les zones rurales reculées serait «du petit hydraulique ou du micro-solaire voltaïque».
Totalement utopique... Donnez une éolienne ou quoi que ce soit d'autre de ce genre et ils n'auront de l'électricité que pendant quelques années. Ces appareils ne fonctionnent pas tout seul. Il faut une expertise, de l'entretien et des pièces. Deux ou trois ans après le don, aucun de ces appareils ne sera en fonction, faute d'expertise et de fond pour les tenir en vie...


Tout ceci est la pensé socialiste en action.
L'idée que l'argent engendre l'argent. Qu'il suffit de capital pour créer d'autre capital, en ignorant totalement que sans cerveau humain, toute technologie est inutile. La technologie n'est rien sans le cerveau humain. Et le cerveau humain refuse de fonctionner lorsqu'aucun gain personnel n'est possible.

L'idée que des gens aient moralement droit à une part de ce qu'ont produits les autres, que la pauvreté est une condition de la nature qu'il faut atténuer à coup de compassion et de privation.
C'est un dada de notre monde...
La puanteur de cette idéologie qui consiste à considérer comme un devoir moral de donner une partie de sa richesse à ceux qui n'en créent pas mais qui ignore toute avenue permettent à ces peuples de mettre en place un système leur permettant d'en faire de même, de créer eux aussi leur propre richesse.
Cette idéologie est l'idéologie de la sangsue.

Cette vision d'un tel monde est ce que désire mettre en place l'ONU et nos gouvernements sous le prétexte de changements climatiques.

L'environnement est utilisé pour vous baiser. Tantôt en nous accusant d'être les seuls responsable du malheur de ces gens parce que nous avons pollués l'environnement à leur dépend, tantôt en faisant appel à notre compassion (comme c'est le cas ici) en nous montrant à quel point ces gens polluent l'environnement et «s'auto-détruisent» parce qu'ils n'ont pas un environnement propre comme le notre....

D'une façon ou d'une autre, vous êtes responsables de tous les maux du monde. Non ?
C'est la position que soutient les écolos, l'ONU et nos gouvernements...

Et bien non ! Je refuse votre morale, votre logique et votre agenda caché.
Je refuse tout blâme, toute accusation de responsabilité pour le sort de ces gens.
Je refuse toute solution qui dénigre la raison de notre richesse, le capitalisme, et ne désire qu'en prendre le fruit pour le distribuer à ceux qui refusent de voir comment cette richesse a été crée.

François.

3 commentaires:

Tym_Machine a dit...

Tout le monde chie et avec le méthane des excréments, on peut faire de l'électricité? Alors un plus un et boum tout à l'heure tout le monde va pouvoir au moins éclairer sa shed.

Anonyme a dit...

Votre philosophie pseud-autonome nous fait bien marrer, avec des airs de morale à chaque refrain..Vous pensez à l'envers c'est désespérant...

Francois a dit...

:)Serait-ce un connaisseur en philosophie qui parle ?

Penser à l'envers hein ?
A l'envers de quoi ? Selon qui ?

A l'envers de ce que vous pensez ? A l'envers de ce qu'enseigne la philosophie de notre époque ?

Vous pouvez être aussi désespéré et vous marrez tant que vous voulez.
Mais si vous ne précisez pas votre accusation, vous n'avez l'air que d'un petit bum sans morale qui crie des bêtises et part à courir...

La critique est le bienvenue, mais il y a un minimum à respecter.
Besoin d'aide ?
Ok.
- Pourquoi le pseudo ? Qu'est-ce que cela veux dire ?
- Est-ce qu'une philosophie autonome est mauvaise ? Que dire du fais que tout le monde à une philosophie autonome ( sauf peut-être les philosophes ?)
- Toute morale est-elle mauvaise selon vous ?
Expliquer une valeur en terme de bien ou de mal est nécessairement une morale.
Quel est la différence entre une morale et un «air de morale» ?
- Pensez à l'envers.... Une telle affirmation implique nécessairement une référence. C'est à dire à l'envers de qui ? Selon qui ?
- Etant si désespéré, et compte tenu que vous prenez quelques minutes pour me dire vos états d'âmes, pourquoi arrêter là et ne pas m'expliquer. Si c'est si «à l'envers» et si désespérant, c'est surement facile à dénoncer...

J'écoute...