lundi 29 septembre 2008

Martin Masse sur la crise financière


Pour ceux qui cherchent à mieux comprendre ce qui arrive avec la finance à Wall Street et qui désirent une opinion d'un vrai économiste, je vous propose d'écouter cet entrevue radio.
Martin Masse est sans doute un des meilleurs économiste au Canada ( pour rester poli... ).


Voici l'article du NationalPost mentionné dans l'entrevue: Bailout marks Karl Marx's comeback
Et une référence à cet article dans le Mises Institute Blog: The Disgrace of (some) Capitalists
Et finalement, un "must":   le blog du Québécois Libre

vendredi 26 septembre 2008

Le trou dans la couche d'ozone

Le trou dans la couche d'ozone ne se réduira pas avant 10 à 20 ans

Bien que le trou de la couche d'ozone soit réel, une partie de la science démontrant la réaction des CFC avec l'ozone comporte certains points faibles.  Depuis le début, certains chercheurs affirment qu'ils n'arrivent pas à justifier la baisse d'ozone en modélisant les conditions en antarctique. 

Un chercheur Canadien a démontré il y a quelque années qu'il existe une correlation forte entre les rayons cosmiques et la quantité d'ozone éliminée. Celui-ci peut aussi expliquer la réaction en cause ( http://www.science.uwaterloo.ca/~qblu/research-I.pdf  ).

Mon point est qu'il est toujours dangeureux d'assumer que la science est fixe et stable. Au contraire, tout est continuellement remis en question et les théories évoluent. L'histoire humaine se répète: la majorité des scientifiques et des organismes qui voient la réponse de l'humanité au CFC ( le protocole de Montréal ) comme le modèle à suivre ne veulent évidemment pas accepter quelque chose qui change ce qu'ils ont déjà règlés dans leur tête. 

Et pourtant, d'après l'article:
«La concentration de ces gaz dans la stratosphère diminue à un rythme de 1% par an»
en dépit d'une tendance de fond, des fluctuations importantes peuvent être enregistrées d'une année sur l'autre en raison des conditions météorologiques.

Ainsi, pour 2008, pas d'amélioration en vue. Selon les premières données de l'OMM, alors que le trou se forme généralement mi-août pour se résorber mi-décembre, sa superficie «est actuellement plus importante que le maximum atteint l'année dernière à la même époque».Il recouvre à présent 25 millions de km2 au-dessus de l'Antarctique, a indiqué l'expert de l'organisation onusienne. Mais ne devrait toutefois pas atteindre d'ici décembre le record de 2006 de 29 millions de km2, selon les projections de l'OMM.

Donc il y a une diminution de 1% par année de CFC mais la dimension du trou a une fluctuation annuelle d'une dizaine de millions de km2. Mais on a une tendance de fond. Comment réussisent-il à voir là une tendance de fond ??

«2006 a été l'année la pire en étendue et en durée» jamais enregistrée, fait valoir M. Braathen expliquant qu'en dépit d'une tendance de fond, des fluctuations importantes peuvent être enregistrées d'une année sur l'autre en raison des conditions météorologiques.
2006 est le record de tout les temps, 2008 est pire que 2007. Et on y voit une tendance de fond influencée par les conditions météorologiques ? Moi j'y vois une théorie pas tout à fait au point.

Et ce qui est intéressant est que la théorie associée aux rayons cosmiques concorde bien elle: depuis 2006 nous sommes dans le creu d'un cycle solaire et celui-ci est exceptionnellement bas: on est donc bombardés de rayons cosmiques. Mr. Qing-Bin Lu ( l'auteur principal de la théorie ) prédit d'ailleurs un record cette année.
C'est donc à suivre.

Note: bien que cette théorie pourrait ébranler la théorie de la couche d'ozone, il ne faut pas oublier que même avec la réaction via les rayons cosmiques, il faut avoir des CFC. Donc, jusqu'à ce que quelqu'un réussisse à démontrer que les CFC existent à l'état naturel ( et non créés par l'homme ), la réduction ( sans panique ) de la production de ces CFC et une très bonne idée ( surtout qu'il existe des alternatives acceptables ).


jeudi 25 septembre 2008

Le Cap & Trade ( Bourse de carbone )


Au Québec, très bientôt nous aurons une bourse de carbone (nommée Cap & Trade chez tous nos voisins). Ceci semble être dû pour 2012 et est géré par le Western Climate Initiative (WCI).
Qui a voté pour cela ? C’est vous? C'est pas moi en tout cas!

Mais blague à part, qu’en est-il pour le commun des mortels Québécois. Qu’est-ce que ca change dans notre vie de tous les jours ?

Si on écoute ce qui se dit dans les médias de masses, on dirait que c’est comme un jeu de Monopoly écologique entre les gros joueurs de l’économie et que cela n’a que du positif pour tous. Tout le monde laisse croire que ca ne nous implique pas nous les vulgaires citoyens et personne ne parles d’impacts économiques. Tout ce qui nous est dit est que c’est comme une bourse économique qui récompense les bons et pénalise les méchants pollueurs… Un peu comme si les bons empochaient l’argent des méchants pollueurs.

Mais est-ce vraiment si simple que cela ?
Pour y voir plus clair j’ai mis la main sur le manuel d’instruction du jeu Cap&Trade que je reproduis ici :
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The Cap&Trade game

Ce jeu est un jeu de distribution de richesses pour joueurs de droite, donc orienté sur le principe de marché.
La participation est obligatoire pour toute entreprise émettant plus d’un certain seuil de CO2. C’est un jeu de grand, pour les vrais joueurs, les petites entreprises ne peuvent être admises.
Pour jouer, il faut un Gouvernement et des entreprises
(riches pour rendre la partie intéressante).

Règles du jeu :
  • Le jeu est composé de Round de 3 ans. Qui sont répétés jusqu’à la fin.
  • Au début de la partie, les joueurs comptent leurs émissions de CO2 et le Gouvernement alloue des crédits de carbones à chacun selon ses émissions. Chaque crédit vaut une tonne de CO2. 
  • Chaque joueur ne reçoit pas 100% de ses besoins de crédits mais uniquement un certain pourcentage selon la cible de réduction visée. Par exemple si une réduction totale de 10% de CO2 est visée, chaque joueur ne reçoit que 90% de ses besoins. (C’est le Cap du Cap&Trade)
  • Chaque tonne de CO2 émise par un joueur doit être couverte par un crédit. Le joueur qui rationalise sa production dans le but d’y réduire ses émissions de CO2 sera récompensé par un surplus de crédits vers la fin du round. Un joueur qui ne fait rien ou se laisse aller à une trop grosse croissance économique sera déficitaire en crédits de carbones (et sera pénalisé pour son arrogance ?) (Note : c’est ici le différent entre le Gouvernement Harper et les écolos sur les réductions d’émission et les réductions d’intensité. La réduction d’intensité fait que vos crédits sont alloués selon le CO2 d’une unité produite et donc une hausse de production (à émission égale) n’est pas pénalisée et permet la croissance économique. Pas Sport hein? C'est aussi ce que pense les écolos …)
  • Il est donc possible d’acheter des crédits des autres joueurs sur un marché (presque) libre d’offre et de demande. (C’est le Trade du Cap and Trade pour ceux qui n’avaient pas encore compris…)    Note : Ce coté échange/marché est ce qui donne le piquant au jeu pour les joueurs qui ne peuvent résister à ce type de jeu et qui permet sous une facette de dynamique complexe de dissimuler aux citoyens que c’est en fait une taxe.
  • A la fin du Round, les joueurs n’ayant pas réussi à couvrir leurs émissions de CO2 avec des crédits doivent acheter ceux-ci sous forme d’amendes à très gros prix au Gouvernement. (Un peu comme la chaise musicale mais plus stratégique…)
  • Évidemment, les joueurs n’ayant plus d’argent, ni de crédit (bancaire cette fois, pas crédit de CO2) sont éliminés du jeu.
  • Un nouveau Round est ensuite lancé mais avec de nouvelles cibles plus contraignantes pour rendre le jeu de plus en plus difficile. (Donc à chaque Round, vous devez serrer la vis et les gains du Round précédent sont disparus)
  • Le jeu se termine lorsque tous les joueurs sont en faillite et l’économie s’écrase.  (C’est alors les écolos qui ont gagnés.) ou que tous les joueurs restant sont nationalisés. (C’est alors le gouvernement qui est déclaré gagnant.)

Variante du jeu :
  • Une version beaucoup plus difficile mais bien appréciée des socialistes et écologistes consiste à vendre les crédits initiaux au début des Rounds au lieu de les donner aux joueurs. Ceux-ci peuvent être vendus à prix fixe et encore aux enchères pour faire gouter aux joueurs une pleine bouchée d’offre et de demande…
  • Cette variante permet au Gouvernement d’amasser une très joli somme avant le début du Round. Celui-ci doit servir à faire pousser quelques éoliennes au grand public mais la balance peut être utilisée par le Gouvernement pour subvenir à ses besoins d’opération de la bourse de Carbone…

Stratégie :

Pour le Gouvernement :
  • Le Gouvernement doit s’empresser avant le début de la partie de mettre en place des centaines de fonctionnaires pour comptabiliser les multiples rapports que les joueurs devront produire durant le jeu, des inspecteurs pour éviter les fraudes des joueurs, des comités pour l’allocation des crédits et des comités pour la gestion du lobby du crédit des joueurs, etc.
  • Pour faire accepter toute ces dépenses d’argent, le bluff aux citoyens est conseillé. Deux approches sont conseillées (utilisable ensemble sous le nom d’emploi vert…), soit faire valoir toute ces créations d’emploi dans ce jeu à somme-zéro de lapidation de capital. Ou encore s’assurer de la collaboration de plusieurs groupes écolo pour bien manipuler l’impression que le jeu est indispensable.
  • L’allocation de crédit donne un pouvoir réel de contrôle sur les joueurs. Il faut bien connaître et préparer ses alliances le plus tôt possible dans la partie. Pour autant que la réponse soit positive à leur lobby, ceux-ci aideront au bluff du jeu.
  • Le Gouvernement doit allouer assez de crédits pour ses alliances mais sans en allouer trop, ce qui fait chuter le prix transigé de ces crédits et enlève tout plaisir au jeu (En Europe, la bourse est tombée à moins d’un Euro la tonne pour cette raison).


Pour les joueurs :
  • Avant le début de la partie, mettre en place ses lobbies auprès du Gouvernement pour obtenir le plus de crédit, subventions et protectionnisme possible.
  • Mettre aussi en place ses multiples consultants nécessaires à la réussite du jeu. Il faut des consultants pour comprendre la stratégie du jeu, pour manipuler le calcul de ses émissions sans être à la merci des inspecteurs du Gouvernement, etc.
  • Tout au long du jeu, le joueur a le choix entre plusieurs stratégies. Il peut soit rationaliser sa production dans le but d’émettre moins de CO2 et vendre ses surplus de crédit pour ainsi sortir gagnant pour ce Round. Il peut aussi opter tout simplement d’acheter ses crédits manquants aux autres joueurs et ainsi refiler la note aux consommateurs de sa ressource. C’est la stratégie la plus sure et celle utilisée en Europe avec la bourse de carbone qui après un Round a quand même vu le total d’émission augmenter.
  • Dans ce jeu, toute croissance économique est fortement pénalisée puisqu’elle doit être compensée par des crédits de carbone (à gros prix si tous les joueurs ont aussi une telle croissance). Le joueur sera même parfois dans l’obligation de réduire sa production pour essayer de rester en vie jusqu’à la fin du Round, espérant empocher ses crédits pour repartir en affaire.
  • Le but du jeu pour les joueurs est d’éliminer sa concurrence (avec l’aide du Gouvernement si possible) pour ainsi former un monopole, mais sans se faire nationaliser par ce Gouvernement.
  • Après le premier ou le deuxième Round, la majorité des rationalisations possible dans la production ont été mises en place, les joueurs les plus faibles sont éliminés et le Gouvernement rationne encore d’avantage l’allocation de crédit. La partie change alors de mode et devient beaucoup plus stratégique. Les joueurs doivent se rabattre sur la spéculation pour y gagner. 
  • Il est alors conseillé de s’acheter quelques stratèges économiques et même de former un département dédié à cette fonction. 
  • Le joueur doit spéculer sur le prix des crédits manquant à la fin du Round. Comme l’offre est grandement réduite, les prix montent. Acheter tôt? Vendre ensuite ? Attendre ?

Seul les plus solides résistent…

(Les dés ne sont pas inclus)

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Qui veut jouer ?

Francois.

La fin de la glace en Antarctique ?

Pour ceux qui sont convaincus que la glace fond rapidement en Antarctique et que cette région sera bientôt sous un climat tropical, et bien voici une petite douche froide de réalité:

lundi 22 septembre 2008

C'est un départ

Et bien c'est un départ !
Le blog est en ligne depuis aujourd'hui.
Ne faites pas attention à la présentation pour l'instant, je suis un gros zéro mais je fais affaire avec des spécialistes ( www.k-boom.biz ) et tout devrait être très joli bientôt.

François.

La chaleur diminue la capacité des plantes à absorber du CO2

La chaleur diminue la capacité des plantes à absorber du CO2
http://news.dri.edu/nr2008/arnone_nature_091708.php

C'est pas super intéressant comme étude mais ca montre bien comment arriver aux conclusions désirées quand on le veut bien et comment la 'nouvelle science' du 21ieme siècle raisonne.
L'étude est faite par le Desert Research Institute.


On y apprend que le chaleur diminue la capacité des plantes d'absorber le CO2. Mais les plantes adorent le CO2.


Petit fait populaire:
Ceux qui connaissent les plantes savent que pour pousser, la plante a besoin de lumière et de chaleur. Et surtout, surtout, ne pas manquer d'eau! Ceci est d'autant plus important si votre plante est dans un endroit plus ensoleillé qu'elle ne le préfère.



Le texte de Cyberpresse ne vaut absolument rien pour comprendre ou valider l'étude puisqu'il ne fait que s'étirer sur les conclusions et ses conséquences, rien sur l'étude comme tel.
Je n'ai pas accès à l'étude publiée dans le très prestigieux journal Nature. Mais voici le Press Release de l'étude sur le site du DRI: http://news.dri.edu/nr2008/arnone_nature_091708.php

On y apprends beaucoup plus de choses.
Entre autre, ceci:
The scientists found that ecosystems exposed to an anomalously warm year had a net reduction in CO2uptake for at least two years.
Large reductions in net CO2 uptake in the warm year were caused mainly by decreased plant productivity resulting from drought


Pardon ?!!!
Ok, on élabore:
La chaleur réduit l'humidité dans le sol en provoquant de l'évaporation.
OK
La sécheresse nuit à la croissance des plantes.
OK
Les plantes poussent moins donc absorbent moins de CO2.
OK
Donc la chaleur réduit l'absorption de CO2 par les plantes.
FAUX!

En science normale, on ne peut faire une telle déduction !

Et dans la vrai vie, c'est probablement encore plus faux. Ne serais-ce que parce qu'un environnement plus humide va probablement causer plus de précipitations.

Essayons-en un aure voir:
La gravité fait tomber une roche lorsqu'on la lâche.
Un roche qui tombe sur une fourmi l'écrase.
Donc la gravité écrase les fourmis….
Et bien non, en science avant le 21ieme siècle, on ne pouvait faire de telle déductions…

Pour terminer, une phrase me confirme qu'on parle ici de 'nouvelle science':
"Our findings confirm that ecosystems respond to climate change in a much more complex way than one might expect based solely on traditional experiments and observations,"
Donc, pour les changements climatiques, la méthode scientifique basée sur les hypothèses et l'experimentation ne fonctionne plus ?! Cette phrase n'a tout simplement aucun sens.

Cyberpresse: Si les plantes et les sols absorbent moins de carbone, davantage de CO2 sera rejeté dans l'atmosphère, contribuant à l'effet de serre et accélérant le réchauffement.
Un MUST dans ce genre d'étude: C'est pire que pire!!!: même les plantes sont complices !!!!..

Francois.

vendredi 12 septembre 2008

La NASA et l'éco-terrorisme



Les 11 septembre, il est d'actualité de parler de terrorisme.
 
Et bien, s'il vous prends l'envie de vous amuser un peu à faire de la casse et que vous avez des convictions écologiques, laisser-vous aller sans danger.
Peinturer des barrages hydroélectriques ( avec Roy Dupuis peut-être… ) ou encore vandaliser une raffinerie, allez-y sans crainte: l'éco-terrorisme est maintenant sanctionné par la justice au nom d'une idéologie plus grande que la justice elle-même.
 
C'est ce qui est arrivé à six délinquants activistes de Greenpeace qui se sont fait arrêter pour méfait sur une usine à charbon en Angleterre. Poursuivis pour la somme de 30000 livres, ceux-ci ont étés acquittés selon une clause qui permet de faire des dommages dans un but d'en prévenir de plus gros. Cette clause existe pour par exemple permettre de défoncer une porte pour sauver quelqu'un durant un feu sans se faire poursuivre pour le prix de la porte.
Et bien, ces terroristes valeureux chevaliers ont sauvés des citoyens des dommages causés par le réchauffement climatique qu'aurait pu causer cette usine !
 
On connais tous les excès médiatiques de Greenpeace, c'est rien de nouveau.
Que la justice accepte un tel argument dans ce cas-ci est un précédent assez dangereux. Cela sanctifie bien des convictions.
Par exemple, puis-je aller faire des dommages au parlement pour les empêcher de faire encore plus de dommage aux citoyens en gaspillant leur argent ?
Mais la aussi on as tous vu des dérapages de la justice ( et c'en est surement un ), c'est rien de nouveau.
 
Ce qui est inacceptable dans cette histoire est qu'un des patrons de la NASA ( Goddard Institute ) est parti des US pour faire un témoignage sur la relation entre l'usine de charbon et la mort de citoyens que ses éco-terroristes nobles défenseurs de la justice ont évités. Bien qu'il s'y soit présenté à titre personnel et non comme représentant de la NASA, c'est quand même un grave accroc à l'éthique scientifique. Celui-ci arrive quand même avec toute sa réputation et est quand même vu comme la NASA par tous.
 
Mr. Hansen est le patron de la section Climat de la NASA, c'est celui qui publie les température du GISS ( Température de la planète ). Ce poste oblige une intégrité et impartialité scientifique à toute épreuve vu la controverse et les coûts associés au mouvement climatique.
C'est le gardien des chiffres utilisés pour "visionner la fièvre de la planète", c'est un des trois grands représentants du "consensus scientifique" sur le sujet et pour cela, il se doit d'avoir une impartialité scientifique inébranlable.
 
Même si j'étais de son avis sur toute sa doctrine  propagande théorie , je ne pourrais quand même accepter un tel conflit d'intérêt et un tel manque d'éthique scientifique.
C'est pour une bonne cause !  Ha oui ?
Me semble que quand je vois que la "preuve scientifique" du réchauffement vient d'un groupe ayant comme patron un activiste écologique qui sanctionne l'éco-terrorisme, il faut être doublement prudent sur ce qu'est cette cause au juste, qui la mène et dans quel genre de société nous mènent-ils ?
 
Francois.
 
Source: