jeudi 23 octobre 2008

Ilot de chaleur urbain



L'atmosphère urbaine pourrait devenir insupportable

Dans ce texte, on nous présente les Îlot de chaleur urbain. Ce phénomène est bien connu, même s'il est jugé presque nul par l'IPCC.

En simplifié:
Le jour, le soleil chauffe le béton, l'asphalte, les toits des maisons, etc.
Le soir, ces structures irradient la chaleur accumulée qui forme un îlot de chaleur au dessus de la ville.

Il est facile de falsifier la conclusion de l'IPCC pour quiconque a un indicateur de température extérieure dans son auto. Hivers comme été, le soir lorsque le vent est faible et le ciel dégagé, regardez le changement de température entre la banlieue éloigné et la ville. Vous verrez des différences de 1 à parfois 10C entre les deux milieux. ( Indépendemment qui vous alliez au sud ou au nord ).

Dans le texte, on nous dit qu'il est important de limiter le réchauffement climatique pour éviter la surchauffe de ces milieux urbains.

Mais ce n'est tellement pas s'attaquer aux vrai problème que de prôner cette avenue.
Le problème n'est pas une fraction de degré dû au réchauffement climatique, mais plutôt la grosseur des villes qui s'étendent de plus en plus. La chaleur des îlots urbains, bien évidemment est dépendante d'une hausse des températures mais celle-ci est bien plus dépendante du milieu de la ville comme tel ( 0.7C à cause du réchauffement climatique ou 10.0C à cause du béton ? )
Réchauffement climatique ou non, le problème des Îlot Urbains existe.

Pour en diminuer ces effets, pas besoin de démolir la civilisation comme le demande le texte, il suffit plutôt de planter des arbres ( en ville ! ), planter encore des arbres, mettre des toitures de couleur plus pales, prôner l'étalement urbain ( ouch ! c'est pas politically correct d'oser proposer cela comme solution ), planter encore des arbres et mettre du gazon.

Encore une fois, l'ONU est un joueur à deux faces: l'îlot urbain n'existe pas vraiment pour ce qui est des calculs de température mais celui-ci leur sert d'argument pour prôner des réductions d'émission de CO2 de l'autre coté.

François

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