Est-ce de la variation naturelle ou bien le réchauffement climatique qui crée ce froid (...) ? Mais en Angleterre, ils sont dedans jusqu'aux dents:
Comment ceci est-il possible dans un monde où le point de non-retour climatique est atteint ?
Et pour ceux qui me disent que c'est de la variation naturelle, comment expliquer que celle-ci est si puissante qu'elle peut annuler la fin du monde promise. Et surtout, comment croire que cette variation n'est que dans un sens: le froid.
Comment, de façon réaliste justifier que tout réchauffement est dû au Co2 mais que tout refroidissement est dû à cette (maudite) variation ?
Évidemment, l'ONU avait tout prédit grâce à ses super-modèles climatiques hein ?
Bullshit !
François.
2 commentaires:
Allons !
C'est aussi ridicule de dire que le temps froid prouve l'inexistence du réchauffement, que de dire qu'une saison chaude le prouve.
Tu sais bien que la thèse du réchauffement global n'est pas basée sur aucune variation locale mais sur des tendances lourdes à long terme.
A moins que tu ne joues au troll sur ton propre blogue juste pour nous faire réagir - hé bien c'est réussi :-)
Tout à fait d'accord que du temps froid de prouve rien et ne falsifie rien.
Mais en même temps, qu'est-ce qu'une théorie si celle-ci est impossible à falsifier. 10 ans sans réchauffement climatique, des vagues de froid comme il n'en devait plus y avoir, des records de froid et non de chaud.
Si tout ceci ne mets pas au moins un bémol à la théorie du réchauffement, est-ce que seule une période glaciaire le pourra ?
Les deux faussetés que je dénonces dans le texte sont les suivantes:
- Plusieurs connectent de telles tempêtes aux 'changements climatiques', faisant subtilement allusion à un dérèglement climatique. ( Sans aucune justification scientifique ). Rien, mais absolument rien ne permet de penser que ces tempêtes ne sont autre chose que de la variation naturelle.
- Plusieurs nous disent que le signal du CO2 dans la température est nettement plus grand que la variation naturelle. Encore là, 10 ans de variation naturelle 'cachant' ce réchauffement commence à faire beaucoup. Il y aura sans doute toujours des extrêmes de froids même dans un monde se réchauffant mais il commence à être de plus en plus difficile d'affirmer que la variation naturelle ne compte pour rien.
Et le point le plus important du texte que je répète est le suivant:
Si la variation naturelle est capable de refroidir le climat sur un période de 2 ans ( globalement et non localement ) à ce qu'il était il y a 20 ans, comment fait-on pour différencier cette variation du réchauffement dû au CO2 lorsque celle-ci est dans la direction opposée ?
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