jeudi 13 novembre 2008

Une nouvelle peur: le froid ? Pourquoi pas.


Vous êtes fatigués d'entendre parler du réchauffement climatique ? Vous vous ennuyez de continuellement attendre l'action, le sang et les morts promis par le dogme du réchauffement climatique.
Et bien pas de problèmes, changez pour la peur du refroidissement climatique... 

OK, il faut comprendre que l'idée n'est pas encore tout à fait au point. Par exemple, annoncer la fin du monde dans 10,000 à 100,000 ans, c'est pas très winner quand on nous en promet une imminente en 2012 ( le calendrier Maya, l'IPCC et ses tipping points, etc ).
Aussi,  il manque un coupable crédible à cette théorie: le progrès, l'argent, l'inégalité sociale, l'intelligence, le scepticisme, je sais pas,  mais il faut un coupable de ce genre pour focaliser nos frustrations.
Mais rien n'est impossible. Avec un peu d'imagination, ils pourraient facilement corriger cela.


Pour le reste, ce texte est aussi peu scientifique que les annonces de fin du monde par le feu.
Le petit coté alarmiste qui nous parle de kilomètres d'épaisseur de glace. De niveau des océans qui va baisser de 300 mètres. 
On nous dit que les changements climatiques ( lesquels parlent-ils, qui sait. ) sont dûs à un manque de CO2 dans l'atmosphère. ( Aussi idiot que le contraire ).
C'est publié dans le 'très noble' journal Nature comme tous les autres textes de ce genre.
Et évidemment, pour terminer toute argumentation:  la théorie est basée sur des Modèles Climatiques Informatisés. C'est donc dans le même plan de réalité que ces modèles qui nous font la prophétie de la destruction par le CO2: la réalité virtuelle.

Oui, je penses que les probabilités qu'il fasse très froid pour les 7 à 10 prochaines années sont très grandes mais rien comme ce qui est annoncé dans ce texte. Et pas de quoi en faire une religion.

Je me répète mais, ni moi, ni eux, ni l'IPCC ne savons avec certitude ce qu'il fera dans quelques années comme climat. Quel que soit ce climat, quel que soit le degré de chaud ou de froid qu'il fera, un chose est certaine: l'humanité sera d'autant plus en mesure de l'affronter qu'elle sera forte ( donc riche ). C'est le progrès technologique qui permet à l'humain d'affronter la nature la tête droite. C'est la richesse de la nation qui permet à celle-ci de réagir avec rapidité, innovation et force à ces changements de la nature.
De se rabaisser comme le prône le mouvement écologique présentement ne fait que nous rendre plus vulnérable aux divers soubresauts que la nature nous réserve dans le futur.
Oui il faut respecter la nature, la biodiversité, la beauté de celle-ci. Il faut aussi en respecter sa puissance.
Mais il ne faut surtout pas s'incliner devant cet ennemi que l'on admire tous car, demandez le aux dinosaures ainsi qu'aux milliards d'humains qui ont été vaincus par celle-ci: c'est un ennemi sans pitié.

François.

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