Et il est vrai qu'une vague de chaleur n'est pas gage de réchauffement climatique et ni le contraire pour une vague de froid.
Sauf que...
Sauf qu'il est totalement faux de laisser croire qu'il n'y absolument aucun rapport entre les deux.
Le climat c'est un concept. Il n'a aucun impact direct sur la réalité.
La météo, c'est le temps qu'il fait, c'est la réalité. Le temps qu'il fait lui, a un impact sur la planète.
Le climat ne défini pas le temps qu'il fait, il le conceptualise, l'analyse. Le climat ne peut être défini autrement qu'à partir de la météo.
Imaginez comment les médias seraient excités si nous subissions une vague de chaleur planétaire au lieu d'une vague de froid comme c'est le cas présentement. On aurait tout les Guilbeault et Gore de ce monde devant la caméra nous annonçant qu'ils l'avaient prédits.
En europe:
Une vague de froid fait plus de 80 mortsLe bilan humain était lourd avec 42 morts de froid en Pologne, où les températures sont tombées à moins 20°C.
Le froid est aussi à l'origine du décès de 27 personnes en Ukraine.
Au moins six personnes sont mortes au cours du week-end en Allemagne, victimes des températures glaciales, jusqu'à -33,6°C, et des routes verglacées.
Au moins trois sans-abri ou mal logés sont morts d'hypothermie en France.
Trois personnes, deux rentrant de boîte de nuit et une d'un restaurant, sont mortes en Autriche, selon la presse.
À Zagreb, une cinquantaine de personnes ont été blessées lundi lorsqu'un train de passagers a heurté un parapet en béton à son entrée en gare, le système de freinage n'ayant pas fonctionné correctement en raison d'une température de moins 17 degrés, selon la télévision.
Froid et neige ont aussi frappé le nord de l'Italie, provoquant retards et annulations de trains, ainsi que la fermeture d'écoles notamment en Vénétie.
En Espagne, plus de 170 vols ont été annulés lundi à l'aéroport international de Madrid-Bajaras en raison de chutes de neige qui ont aussi entraîné d'importantes perturbations dans le trafic routier autour de la capitale, avant que la situation ne revienne progressivement à la normale.
Au Portugal, le trafic aérien restait perturbé.
Plus au nord, le trafic à l'aéroport de Bruxelles revenait aussi peu à peu à la normale, même si des annulations et retards ont été enregistrés.
Le trafic a également repris à l'aéroport de D-sseldorf (ouest de l'Allemagne), arrêté dimanche en raison des chutes de neige, mais avec des annulations et des retards lundi. À l'aéroport de Francfort, le plus grand d'Allemagne, une quarantaine de vols ont été encore annulés lundi après plus de 200 dimanche.
Au Royaume-Uni, l'aéroport de Gatwick, au sud de Londres, a été temporairement fermé, le temps de dégeler sa piste. L'aéroport de Luton, au nord de Londres, était fermé.
De plus, en début d'après-midi, l'électricité a été coupée chez deux millions de personnes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, à la suite d'un accident, afin d'éviter «un black-out complet» dans cette région du sud-est de la France.
Sur les routes européennes, le verglas continuait de rendre la circulation très difficile, provoquant de multiples accidents et embouteillages.
Le calme après la tempête
Après des chutes de neige historiques, qui ont vu s'accumuler jusqu'à 61 cm de poudreuse en Virginie, il ne neigeait plus lundi que dans certaines parties du Maine et de l'État de New York.
À Washington, paralysée samedi et dimanche, toutes les administrations fédérales étaient fermées. Les fonctionnaires dont la présence n'était pas absolument nécessaire étaient excusés pour la journée et ceux pouvant travailler depuis chez eux étaient encouragés à le faire.
La météorologie nationale mettait en garde contre des conditions de circulation difficiles en Virginie, en Pennsylvanie et dans le Maryland (est), en particulier autour de Washington et Baltimore, en raison du verglas qui s'est formé à partir de la neige fondue puis à nouveau gelée.
Durant la fin de semaine, il a fait -58 degrés Celsius avec le facteur éolien à Edmonton, soit un record de froid pour le mois de décembre.
Qu'est-ce que tout cela prouve ? Absolument rien.
Mais ceci nous impose de faire un «reality-check» avec ce qui est proclamé au sujet du réchauffement climatique.
A entendre les médias, les hivers n'existent plus, la chaleur est tellement intense que la nature est menacée, les écosystèmes détruits, etc.
Mais à regarder la réalité, il est évident que le climat est plus complexe que la simple formule de CO2 = chaleur tant proclamée.
La nature est encore capable de nous envoyer des température de plus de 20C sous la normale pour certains endroits.
Avec de telles variations, qui croit réellement que si la somme/moyenne annuelle de ces température donne 0.6C de plus qu'il y a 50 ans, la nature est incapable d'en subir le coup ?
L'écart type est tellement grand que l'impact d'une hausse moyenne si petite est nul.
Et ce, surtout si l'on tient compte du fait que les températures maximales ne sont pas plus chaudes qu'avant et les canicules ne sont ni plus fréquentes, ni plus longues qu'avant.
Certains vont attribuer à tord ce froid à ce qui s'appelle les «changements climatiques». Mais les changements climatiques, c'est juste un nom malhonnête pour le réchauffement climatique.
A la limite est-il possible d'attribuer la quantité de précipitations dont il est question ici au réchauffement climatique qui augmenterait la quantité d'humidité ( ce qui reste à prouver ), mais en aucun cas est-il possible d'attribuer du froid au réchauffement climatique.
Non, tout ce froid ne prouve rien.
Mais il démontre que notre climat est encore soumis à des variations naturelles et que celles-ci sont nettement plus puissantes que les effets du CO2, pourtant annoncés comme étant si catastrophiques.
Francois.
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