dimanche 14 décembre 2008

A propos des glaces sur les océans de la planète

A cause du réchauffement climatique, les océans de la planète seront sans glace très bientôt. Le pôle Nord sera le premier, Al Gore nous dit dans 5 ans. Suivi par la suite de l'antarctique.
On nous dit que tout ceci est un fait indéniable.

Est-ce vraiment si vrai que cela ?
Quelqu'un a eu l'idée de mettre sur un graphique la quantité de glace globale ( ie: Pôle Nord plus Pôle Sud ) pour les 30 dernières années. Et bien, c'est très intéressant car il n'y a pratiquement pas de tendance dans la quantité de glace sur nos océans. Et pire encore, selon la méthode utilisée pour calculer la quantité de glace, cette petite tendance est soit à la baisse ou à la hausse. ( Donc faites votre choix selon votre conviction de la réalité... )
A noter que 30 ans est justement considéré par l'IPCC comme la période nécessaire pour exprimer une tendance.
Voici le texte original:   Global Sea Ice Increased Over 28 Years
( Merci à Jeff pour ce travail... )


Donc, le Nord fond et le Sud se glace. Cette oscillation a bizarrement été observée dans le passé. Et ma prédiction est qu'elle va s'inverser dans quelques années.
En fait c'est possiblement déjà commencé mais l'impact ne sera vraiment visible que bientôt. Alors là, vous allez entendre comment le Pôle Sud fond et comment tout ceci était prévu !

François.

3 commentaires:

Marchand a dit...

Bonjour, votre graphique qui additionne les aires de glaces des deux pôles, sont celles des aires de banquises uniquement ? La fonte des banquises ou des iceberg ne contribue en rien à la montée du niveau de la mer, suivant le principe d'Archimède ! Parcontre, la fonte des calottes glaciaires sur le Groenland ou la Terre Adélie, par exemple contribue à l'augmentation du niveau de la mer. D'autre part, comme vous semblez le constater, lorsque le Pôle nord fond, le pôle sud se refroidit. Il est très difficile sur la côte Atlantique, entre les moyennes des basses et des hautes marées de savoir si le niveau de la mer monte. En mer Méditerranée, c'est plus facile et le Marégraphe de Marseille, qui enregistre depuis les années 1880 à effectivement constaté une élévation jusqu'en 1960, mais depuis la moyenne est stable ! Le scénario catastrophe due à l'effet de serre très mèdiatisé et politisé, je n'y crois pas ! Je me demande d'ailleurs, si tout ceci, ne sert pas à cacher des effets plus graves, la pollution chimique et nucléaire des mers, des rivières, des nappes phréatiques ! Salutations.

Marchand a dit...

Bonjour, votre graphique qui additionne les aires de glaces des deux pôles, sont celles des aires de banquises uniquement ? La fonte des banquises ou des icebergs ne contribue en rien à la montée du niveau de la mer, suivant le principe d'Archimède ! Parcontre, la fonte des calottes glaciaires sur le Groenland ou la Terre Adélie, par exemple contribue à l'augmentation du niveau de la mer. D'autre part, comme vous semblez le constater, lorsque le Pôle nord fond, le pôle sud se refroidit. Il est très difficile sur la côte Atlantique, entre les moyennes des basses et des hautes marées de savoir si le niveau de la mer monte. En mer Méditerranée, c'est plus facile et le Marégraphe de Marseille, qui enregistre depuis les années 1880 à effectivement constaté une élévation jusqu'en 1960, mais depuis la moyenne est stable ! Le scénario catastrophe due à l'effet de serre très mèdiatisé et politisé, je n'y crois pas ! Je me demande d'ailleurs, si tout ceci, ne sert pas à cacher des effets plus graves, la pollution chimique et nucléaire des mers, des rivières, des nappes phréatiques ! Salutations.

Francois a dit...

Oui, ceci ne concerne que la surface d'océan glacé ( Sea Ice ). Effectivement, la banquise n'a aucun rapport avec la hausse des océans.

Pour les niveaux des océans, le NOAA offre ses données en ligne sous forme de graphique, ce qui est très intéressant: http://co-ops.nos.noaa.gov/sltrends/sltrends_global.shtml

Certains sites sont très intéressant. Par exemple, le niveau des océans des pays Scandinaves est définitivement à la baisse.